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Au sens de cette loi, les immeubles en copropriété divise demeurent à caractère privé. Cependant, la Régie du bâtiment (RBQ) a tout de même un droit de prélever chaque année une taxe pour chaque appareil élévateur situé dans des immeubles de plus de trois (3) étages et d’au moins neuf (9) unités d’habitation. Par ailleurs, la Régie enverra habituellement un inspecteur pour vérifier chacun des appareils élévateurs, soit à la demande du syndicat ou sur plainte reçue d’un copropriétaire ou de l’entreprise responsable de l’entretien si ceux-ci croient que les décisions du syndicat peuvent mettre en péril la sécurité des installations.
Il est à noter que pour respecter l’obligation d’entretien des ascenseurs, il est préférable de signer un contrat d’entretien avec une firme spécialisée. Ce n’est cependant pas une obligation d’avoir un tel contrat, mais cela limite les recours contre le syndicat en cas d’incident. Voici ce que la loi oblige :
Ainsi, afin de déceler les réparations à faire tout au long de l’année (s’il y a lieu), il est nécessaire de faire faire des inspections périodiques des installations. Sachez que le nombre d’inspections à faire chaque année n’est pas précisé clairement dans la loi. C’est une question sur laquelle les administrateurs du syndicat devront se pencher à la lumière, entre autres, de la qualité et de l’état général de l’équipement, du degré d’utilisation ou encore des instructions du fabricant ou d’un ingénieur. Votre compagnie d’entretien pourra conseiller votre syndicat à l’effet du nombre d’inspection à privilégier par année afin d’être en mesure de déceler d’éventuelles réparations à faire.
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